Étiquette : Classiques

  • « Thérèse Raquin » d’Emile Zola…

    « Thérèse Raquin » d’Emile Zola…

    C’est le hasard qui a fait que mon choix du mois dans le cadre du Reading Classics Challenge s’est porté sur « Thérèse Raquin« .
    J’ai poussé la porte d’une librairie de livres anciens non loin de chez moi et hop, il s’est imposé à moi dans le rayon concerné…

    Se replonger dans Zola m’a remémorée des souvenirs (plutôt scolaires) de lecture : « La curée » ,  » L’Assomoir » , « Au bonheur des Dames » , « Germinal » , « Nana », « Pot-Bouille » ; un peu plus tard « L’Affaire Dreyfus, la vérité en marche » aussi et tant d’autres…
    Pour en avoir lu pas mal c’est qu’à l’époque sur le plan littéraire les histoires des Rougon-Macquart m’avaient plues. J’ai compris ensuite, comme beaucoup je pense, le côté social, humaniste et plus politique de son oeuvre.

    Après avoir refermé « Thérèse Raquin » , je pense que c’est LE roman de Zola qui me laissera le plus de trace tant il est fort, tragique et glaçant !
    Paru en 1867, je comprends pourquoi cette passion criminelle deviendra une pièce de théâtre dramatique en quatre actes en 1873.
    Les psychologies de Thérèse et Laurent sont particulièrement réussies, sans parler de la science des descriptions de l’auteur que j’avais déjà perçue pendant mes années estudiantines et qui fait la plume que l’on connaît.

    Bref j’ai passé un excellent moment de lecture, que je vous recommande vivement !

    Note de l’éditeur (Fasquelle) :

    Thérèse a été élevée par sa tante dans le but d’épouser son fils, un homme au tempérament maladif. Bientôt, elle ne supporte plus cette vie cloîtrée, ni ce sinistre passage du Pont-Neuf où Mme Raquin installe sa mercerie. Toute sa sensualité refoulée s’éveille lorsqu’elle rencontre Laurent, un peintre raté dont elle devient la maîtresse. Les amants décident de noyer le mari. L’âpreté, la sexualité, le crime. Zola est déjà Zola dans ce mélange puissant de roman noir et de tragédie, dans cet implacable réalisme social et humain.

  • « Le visiteur inattendu » d’Agatha Christie…

    Trouver un Agatha Christie non encore lu relève de l’exploit, mais j’ai réussi à le relever avec brio pour le Reading Classics Challenge du mois d’avril après mon Marivaux .

    Voici mon p’tit rapport factuel, sans aucun spoil, rédigé avec mes deux fidèles chatssistants :

    Présents : 10 personnes
    Absents : Hercule Poirot et Miss Marple
    Particularité : roman adapté de la pièce de théâtre initiale
    Temporalité : vers minuit un soir de novembre et le lendemain
    Lieu : maison isolée des Warwick en Galles du Sud près du canal de Bristol
    Victime : Richard Warwick (une balle dans la tête)
    Arme du crime : revolver
    Coupable(s) : en apparence sa femme mais meurtre qui a pu être commis par tous ceux qui se trouvent là
    Ambiance : huis clos dans une maison
    Point de départ : un visiteur

    Une fois de plus, Agatha nous balade et elle se fiche bien de nous franchement au final, comme elle sait si bien le faire !

    Elle reste pour moi LA Reine incontestée et inégalée du crime malgré de très bons nouveaux « disciples » contemporains… 😉

    Belle enquête à tous !

    L'Ile aux Esclaves Marivaux Editions Folio Le visiteur inattendu Agatha Christie Editions Le Masque

    Note de l’éditeur (JC Lattès Le Masque) :

    Minuit, un coup de feu retentit dans la grande maison isolée des Warwick. Laura vient de tuer son mari Richard, d’une balle dans la tête. Il est vrai qu’il l’a bien cherché et que personne ne le regrettera. L’affaire semble entendue mais il faut parfois se méfier des apparences. Après tout, Laura n’est pas la seule qui voulait se débarrasser de lui, il y a aussi sa propre mère, miss Bennett la gouvernante, ou encore Angell le majordome. Mais voici qu’un visiteur inattendu pénètre sur la scène du crime. Est-ce un hasard ? Et pourquoi propose-t-il élégamment à Laura d’effacer les traces de sa culpabilité ?

  • « L’Ile des Esclaves » de Marivaux…

    « L’Ile des Esclaves » de Marivaux…

    J’ai adoré retrouver une langue merveilleuse.
    Cela faisait bien trop longtemps…

    J’adore le théâtre, et ce depuis très longtemps, ayant baigné dedans très petite (Tante attachée de presse et Oncle comédien, metteur en scène et acteur). 

    Cette pièce de théâtre que je n’avais jamais lue est certes très courte mais des plus percutantes et d’une modernité folle !

    Ce Marivaux est une succulente mise en bouche qui mériterait a minima un dîner complet sur un sujet qui se prête à un plus long développement mais après tout, à nous de continuer la réflexion entamée… 

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Folio) :

    Des naufragés jetés par la tempête dans l’île des Esclaves sont obligés, selon la loi de cette république, d’échanger leurs conditions : de maître, Iphicrate devient l’esclave de son esclave Arlequin, et Euphrosine, de maîtresse, devient l’esclave de son esclave Cléanthis. Mais cet échange ne fait que remplacer une oppression d’usage et de tradition par une oppression de rancune et de vengeance. Seule la transformation des cœurs peut rendre l’inégalité des rangs acceptable et juste en faisant reconnaître par tous l’égalité des âmes. Cette transformation est l’œuvre d’Arlequin, qui pardonne à son maître, lui rend son pouvoir, et dont la générosité est contagieuse. L’Île des Esclaves, comédie rapide et intense, où triomphe Arlequin, réunit, comme souvent chez Marivaux, la bouffonnerie et le sublime.

  • « Accordez-moi cette valse » de Zelda Fitzgerald…

    « Accordez-moi cette valse » de Zelda Fitzgerald…

    Se plonger dans Zelda Fitzgerald c’est forcément s’immerger dans un couple incroyable qui a été l’emblème des Années Folles et de l’âge du Jazz aux Etats-Unis.
    Lui, alcoolique, est mort d’une crise cardiaque en 1940. Il avait 44 ans.
    Elle, diagnostiquée schizophrène, mourra dans l’incendie de l’hôpital psychiatrique de Asheville en 1948. Elle avait 47 ans.

    A la lumière de ce rappel biograhique, le titre de son premier roman écrit en 1932 en seulement six semaines lors d’un traitement à l’hôpital Johns Hopkins met en lumière paradoxalement toute sa lucidité créatrice.
    Juste pour information, elle n’achèvera jamais son deuxième roman suite à sa fin tragique mais laissera tout de même à la postérité des nouvelles écrites avec son mari F. Scott.

    De Zelda je connaissais que quelques bribes de sa vie et surtout le fait que c’était l’égérie de son mari.
    En réanalysant quelque peu les éléments qui les ont faits grâce au Reading Classics Challenge, cela les rend plus vivants que jamais, assez fascinants même et surtout intrigants.
    Zelda en particulier.
    Je me suis donc naturellement tournée vers ce livre même si en vrai le choix était limité comme expliqué plus haut…

    « Accordez-moi cette valse » est un récit en partie auto-biograghique même si Zelda a pris soin de modifier les noms.

    Reflet d’une époque révolue, la traduction de Jacqueline Rémillet met en lumière une plume plutôt agréable à lire.

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Pavillons Poche Robert Laffont) :

    « Accordez-moi cette valse est un roman autobiographique dans lequel Zelda Fitzgerald a transposé sa vision toute personnelle de son mariage avec Scott Fitzgerald. Elle y apparaît elle-même sous le nom, à peine voilé, d’Alabama Beggs, incarnation de ces belles du Sud dont elle était une parfaite représentante. Son mari y figure, lui, sous le nom de David Knight. Écrit en «six furieuses semaines», le manuscrit fut accepté d’emblée par Maxwell Perkins, le propre éditeur et ami de Scott Fitzgerald chez Scriber’s. S’il fut boudé par la critique à sa parution, le livre a été réhabilité lors de sa réédition au début des années 1950. Ce portrait d’un homme doué qui s’autodétruit, enfin apprécié à sa juste valeur, est désormais considéré comme une oeuvre «puissante et mémorable» (le Times Literary Supplement) dont les personnages et leurs actions – tragiques – contrastent magnifiquement avec le cadre de cette Côte d’Azur ensoleillée où ils évoluent.
    Au-delà de cette peinture d’une époque et de ses personnages, Accordez-moi cette valse est aussi, et peut-être avant tout, un grand roman d’amour. »

    « C’est la quantité qui fait que c’est beau.
    L’immensité est la plus belle des choses. »

    « Je suis heureuse de constater que je me suffis parfaitement à moi-même. »

    « Choisir est l’honneur qui fait toute la souffrance de la vie. »

  • « Portraits et impressions de voyage » de Truman Capote…

    « Portraits et impressions de voyage » de Truman Capote…

    De Truman Capote j’avais déjà lu « De sang-froid » (je ne tenais pas encore de blog à cette époque) paru en 1965. Roman de non-fiction (on parle désormais de « true crime ») qui avait eu pour origine un sinistre fait divers (deux jeunes truands avaient tué sans mobile apparent quatre membres de la famille  d’un fermier à Holcomb au Texas), ce dernier fit de lui un écrivain  légendaire devenu tellement mondain qu’il marqua aussi sa déchéance.
    Est passé également entre mes mains « Breakfast at Tiffany’s » of course qui ne m’a pas laissé un souvenir impérissable je dois avouer…

    Le Reading Classics Challenge du mois de mars m’a fait choisir ce recueil, beaucoup moins connu.

    La première partie dresse les portraits de différentes célébrités (peintres, acteurs, photographes et autres…).
    La deuxième, trop courte (je suis restée sur ma faim), sont des impressions de voyage que l’écrivain a effectué entre Brindisi et les îles yougoslaves.

    Si sur le fond on peut trouver à redire, la forme est servie par une excellente traduction de Nicole Tisserand qui met en lumière une plume humoristique, cynique à souhait et trucculente !

    Note de l’éditeur (Gallimard) :

    « Outre ses impressions d’un voyage effectué en 1966 entre Brindisi et les îles yougoslaves, avec une escale dans la ville de Dubrovnik et une ironique divagation sur les femmes, ce sont ici des portraits de célébrités que nous livre Truman Capote. Ainsi John Huston, Charlie Chaplin, Pablo Picasso, notamment, sont-ils brièvement campés par sa plume brillante, parfois caustique, mais toujours comique. À Elizabeth Taylor et Tennessee Williams, cependant, Truman Capote réserve presque un court récit, qui est l’histoire de ses rencontres avec chacun d’eux, échelonnées sur plusieurs années de sa vie – près de vingt ans pour l’actrice américaine qui se présente ici sous un jour inattendu, près de cinquante ans pour l’auteur dramatique qu’il connaît depuis l’âge de seize ans. La verve, la drôlerie, le disputent alors à l’attendrissement et à l’amitié. »

  • « L’exil et le royaume » d’Albert Camus…

    « L’exil et le royaume » d’Albert Camus…

    Grâce au Reading Classics Challenge 2018 (Acte II de ce mois de février après les « Nouvelles orientales » de Marguerite Yourcenar, un peu sur le fil du rasoir étant donnée la date je le conçois O:-) ) j’ai fait le choix de me plonger dans la dernière œuvre de Camus publiée de son vivant et quelques mois avant l’attribution de son Prix Nobel de Littérature.
    Ces nouvelles ont paru en 1957.

    Dans ces lignes il nous fait quelque peu voyager (l’Algérie, Paris et le Brésil) et surtout il s’interroge sur le sens de la vie, la difficulté à trouver le bonheur.
    L’écriture est magnifiquement sobre.

    De lui j’avais lu de mémoire de lycéenne « L’étranger« , « La peste » bien sûr et « La chute » mais sans aucun doute trop tôt aussi le concernant pour appréhender toutes les subtilités propres à l’auteur qui me sautent aux yeux aujourd’hui.

    C’est un écrivain qui mérite d’être lu et relu je pense tant son (malheureusement court) parcours littéraire est précieux idéologiquement et politiquement.

    Dans ce recueil de six nouvelles, j’ai particulièrement apprécié « Jonas ou l’artiste au travail » qui dissèque brillamment le cheminement créatif, les boires et les déboires de ce que l’on appellerait aujourd’hui une success story.

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur initial (Gallimard) :

    «Dans les épaisseurs de la nuit sèche et froide, des milliers d’étoiles se formaient sans trêve et leurs glaçons étincelants, aussitôt détachés, commençaient de glisser insensiblement vers l’horizon. Janine ne pouvait s’arracher à la contemplation de ces feux à la dérive. Elle tournait avec eux, et le même cheminement immobile la réunissait peu à peu à son être le plus profond, où le froid et le désir maintenant se combattaient.»

  • « Nouvelles orientales » de Marguerite Yourcenar…

    « Nouvelles orientales » de Marguerite Yourcenar…

    De Marguerite Yourcenar, première femme de Lettres (et quelles Lettres !) élue membre de l’Académie Française en 1980 rappelons-le ici, je n’avais lu je l’avoue que « Les mémoires d’Hadrien » (sans aucun doute trop jeune pour l’apprécier comme il se doit).

    Dans le cadre du Reading Classics Challenge 2018, j’ai donc fait le choix en ce mois de février de me plonger dans ses « Nouvelles orientales ».
    Tout d’abord parce que ce genre littéraire me plaît (je ne le défendrai jamais assez) et ensuite parce que l’appel de l’Est était trop grand, tout simplement !

    Pour information ces nouvelles ont paru pour la première fois en 1938 et ont été rééditées en 1963.

    L’écrivain nous en propose dix où sa plume, inspirée de certaines fables et morales, certains contes et faits divers méditerranéens et extrême-orientaux, joue avec les grands problèmes du monde dit moderne qui ont façonné l’oeuvre entre deux chaises qu’elle nous a laissée.

    J’y ai pris beaucoup de plaisir. Vraiment !
    Au point de vouloir continuer de m’immerger encore plus sérieusement dans ses lignes. Pour dire…

    Mention spéciale à « Comment Wang-Fô fut sauvé » (très poétique) et « Le Dernier Amour du prince Genghi  » (d’une cruauté irrésistible).

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Gallimard) :

    «Légendes saisies en vol, fables ou apologues, ces Nouvelles Orientales forment un édifice à part dans l’œuvre de Marguerite Yourcenar, précieux comme une chapelle dans un vaste palais. Le réel s’y fait changeant, le rêve et le mythe y parlent un langage à chaque fois nouveau, et si le désir, la passion y brûlent souvent d’une ardeur brutale, presque inattendue, c’est peut-être qu’ils trouvent dans l’admirable économie de ces brefs récits le contraste idéal et nécessaire à leur soudain flamboiement.»

  • “Les tribulations d’un chinois en Chine” de Jules Verne…

    “Les tribulations d’un chinois en Chine” de Jules Verne…

    Jules Verne, j’en garde un souvenir particulièrement ému.
    Il fait écho à mon enfance parce qu’il a éveillé mon imaginaire comme personne et que j’ai enfin compris à plus de quarante ans  pourquoi j’adorais Harry Potter, Le Seigneur des anneaux, Star Wars… les films de Tim Burton et de Wes Anderson… mais également l’Art !

    Me replonger dans son univers et dans un des ses romans que je n’avais pas lu à l’époque m’a tout simplement ravie.
    Sans parler des illustrations qui sont magnifiques !

    Pour ceux qui me connaissent, mon choix final qui s’est porté sur “Les tribulations d’un chinois en Chine” dans le cadre du Reading Classics Challenge 2018 n’étonnera pas.
    L’Asie, encore et toujours !

    Une fois de plus la magie de cet écrivain hors norme a opéré comme il se doit.
    Il m’a complètement embarquée, baladée dans son histoire incroyable.

    Seule différence notable : mon expérience de lectrice m’a permis d’apprécier encore plus son écriture que j’ai trouvée fabuleuse.
    C’était un conteur né, de ceux que l’on n’oublie jamais…

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Le Livre de Poche) :

    “Le richissime Chinois Kin-Fo vient de se trouver soudainement ruiné. La vie, qui lui paraissait jusqu’alors insipide, lui devient insupportable. Il contracte une assurance-vie de 200 000 dollars en faveur de sa fiancée, Lé-ou, et du philosophe Wang, son mentor et ami, à qui il demande de le tuer dans un délai de deux mois, tout en lui remettant une lettre qui l’innocentera de ce meurtre.
    Avant le délai imparti, Kin-Fo recouvre sa fortune, doublée. Il n’est plus question pour lui de renoncer à la vie. Mais Wang a disparu avec la lettre et il n’est pas homme à rompre une promesse ! Voilà donc Kin-Fo condamné à mort, par ses propres soins !
    Une seule ressource : retrouver Wang. Et Kin-Fo de se lancer dans le plus haletant des périples au pays du Céleste Empire.
    Récit alerte à l’intrigue parfaitement menée, Les Tribulations d’un Chinois en Chine est un des joyaux des « Voyages extraordinaires » du grand Jules Verne.”

    Illustrations de l’édition originale Hetzel.

  • “La Princesse de Montpensier” de Madame de Lafayette…

    “La Princesse de Montpensier” de Madame de Lafayette…

    Se replonger dans les Classiques grâce au Reading Classics Challenge 2018 fait du bien, beaucoup de bien !

    Tout d’abord côté écriture : retrouver les belles Lettres de naguère bien qu’un tant soit peu surannées est un vrai bonheur. Vraiment ! Je regrette que notre si belle langue se fracasse un peu trop sur l’autel de la rue et des dérives contemporaines. Il ne faut pas jamais l’oublier, il faut absolument la faire perdurer.
    Ensuite côté Histoire : se frotter de nouveau à celle de France est une bonne piqure de rappel. On oublie malheureusement vite les faits que l’on ne côtoie plus assez. Même si Madame de Lafayette prend quelques libertés non négligeables.

    Cette lecture m’a remémorée certains souvenirs. Toujours présents. Parfois un peu douloureux même si je ne regrette rien concernant mon parcours.
    Fût un temps je caressais l’espoir d’aller étudier les Lettres Classiques à la Sorbonne (où j’avais été prise) pour devenir Professeur. Je ferai finalement mon Droit…

    Nouvelle qui date de 1662, on y croise outre la Princesse le Duc de Guise, le Comte de Chabannes, le Duc d’Anjou et j’en passe…
    Elle relate le destin tragique de Mademoiselle de Mézières sur fonds de passions, de devoirs, de rivalités politiques…

    Belle lecture à tous !

    Note de l’éditeur (Livre de Poche) :

    “A la fin de la Renaissance, le duc de Guise s’éprend de Mlle de Mézières. Mais bien qu’elle l’aime aussi, la jeune fille est contrainte d’épouser le prince de Montpensier. Trois ans plus tard, un jour qu’il a perdu son chemin près du château de la princesse, le duc la rencontre au bord d’une rivière où elle est venue se reposer : elle rougit à sa vue, et lui-même comprend aussitôt que sa propre passion n’est pas morte.”