{Comme quoi il ne faut jamais dire jamais…}
Grosse, très grosse panne de lecture depuis un moment.
Rien de grave cela peut arriver aux meilleurs !
Une amie a eu le « culot » (ceux qui me connaissent savent que je n’aime pas ce genre littéraire) de m’offrir cette mini série de trois mangas : “Le chat aux sept vies”.
Au final cela s’est révélé être une excellente idée.
Comme quoi sortir de sa zone de confort fait du bien !
Elle a su éveiller quelque chose en moi parce que :
– cette histoire traite des chats errants et de leurs relations avec les humains (sujet ô combien intéressant pour la comportementaliste félin que je suis),
– il se dégage de ces livres une belle philosophie et une poésie que les japonais manient à la perfection,
– cette histoire échappe à tout degré profond de débilité que je peux exécrer en la matière.
Je ne peux donc que vous inviter à vous plonger dedans si ce n’est pas déjà fait.
Belle lecture à tous !
©Céline Huet-Amchin
Note de l’éditeur (Glénat) :
Nanao et Machi sont deux chats qui vivent dans la rue. Ils se remplissent le ventre grâce aux “tables” que leur servent les humains, et vivent au quotidien au contact de la mort. À leurs yeux, les humains n’existent que pour les nourrir. Sauf qu’un beau jour, ils font la rencontre de Yoshino Narita, une jeune femme membre de cette espèce qu’ils exècrent tant. Pour elle comme pour eux, la première impression est catastrophique. Mais à terme, cette rencontre changera radicalement leurs vies à tous les trois…
L’indépendance vaut-elle qu’on y sacrifie la moitié de son espérance de vie ? Ce récit en trois volumes suivra avec un regard tendre mais objectif les destins croisés de chats et d’humains et la réalité qu’ils vivent au jour le jour. Loin des caricatures des mascottes félines, tous les personnages sont décrits ici avec minutie grâce aux traits sensibles de Gin Shirakawa. Un récit universel pour mieux connaitre nos compagnons.