“L’essence du mal” de Luca d’Andrea…

J’avoue avoir eu un peu de mal à rentrer dans ce polar montagnard…

Mais il faut persévérer parce qu’au fil des pages le mystère s’épaissit et nous tient finalement en haleine parce que oui, bien que souffrant de longueurs indéniables, nous avons envie de comprendre ce qu’il s’est passé trente ans plus tôt…

En d’autres termes, l’ascension se mérite !

Note de l’éditeur (Denoël) :

“En 1985, dans les montagnes hostiles du Tyrol du Sud, trois jeunes gens sont retrouvés morts dans la forêt de Bletterbach. Ils ont été littéralement broyés pendant une tempête, leurs corps tellement mutilés que la police n’a pu déterminer à l’époque si le massacre était l’œuvre d’un humain ou d’un animal.
Cette forêt est depuis la nuit des temps le théâtre de terribles histoires, transmises de génération en génération.

Trente ans plus tard, Jeremiah Salinger, réalisateur américain de documentaires marié à une femme de la région, entend parler de ce drame et décide de partir à la recherche de la vérité. À Siebenhoch, petite ville des Dolomites où le couple s’est installé, les habitants font tout – parfois de manière menaçante – pour qu’il renonce à son enquête. Comme si, à Bletterbach, une force meurtrière qu’on pensait disparue s’était réveillée.”

Livre lu dans le cadre du Jury du Grand Prix des Lectrices ELLE 2018 dont je fais partie !

« L’odeur du figuier » de Simonetta Greggio…

Note de l’éditeur :

Cinq histoires dont le point commun est une odeur de figuier sauvage, une senteur d’été, d’enfance, de nostalgie, un parfum de délicieuse mélancolie, comme une chanson qui ramènerait à une époque oubliée. Et cette odeur, suspendue sur la vie des personnages, est là pour leur rappeler que la joie est admissible et recevable, qu’elle est tout près, qu’il faut la respirer, y croire, la laisser planer et s’en envelopper.

« La plus française des italiennes » est loin de m’avoir convaincu, excepté dans sa maîtrise des descriptions…

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Editions Le Livre de Poche

Virée italienne sur la Côte Amalfitaine…

J’aime particulièrement l’Italie, l’ambiance qui s’en dégage…

Il était donc naturel de partager cela avec Mon Brun à l’occasion d’une p’tite escapade en avril 2010.

Arrivés à Naples, direction Capri…

Je recommande vivement de prévoir un tour de l’île en bateau !

Visiter Pompéi était un rêve…
Il est réalisé !

Et Sorrente sur le retour était une bien jolie étape…

Côté hôtel, j’avais porté mon choix sur le magnifique Relais & Châteaux Caesar Augustus qui nous a servi de point de chute…

Ce début de la Côte Amalfitaine nous a donné envie de pousser plus loin.
Une prochaine fois !