« La mort s’invite à Pemberley » de P.D James…

Vouloir  écrire une suite à un livre non préalablement écrit par soi-même est un exercice périlleux fort risqué.

Cela avait été tenté à l’époque par Alexandra Ripley qui avait voulu se prendre pour Margaret Mitchell : un désastre !

Phyllis Dorothy James fait la même erreur.
Ne s’improvise pas Jane Austen qui veut !

C’est fade (Elizabeth a perdu toute sa verve originelle) et l’intrigue policière est des plus ridicules.

Totalement inutile.

La mort s'invite à Pemberley P.D James

Editions Fayard

 

So London!

« When a man is tired of London, he is tired of life;
for there is in London all that life can afford. »

« Quand un homme en a assez de Londres, il en a assez de la vie ;
car il y a à Londres tout ce que la vie peut apporter. »

(Samuel Johnson)

J’aime l’atmosphère qui y règne, leurs traditions (même si parfois elles sont désuètes), les Fish & Chips chez Harrod’s (bien trop chers mais fort bons), la famille royale (oui, oui, j’assume), l’éclectisme que dégage la ville, la Tate, le Globe Theater, le fait que ce fût une île, l’Eurostar qui permet d’y être rapidement, leurs séries (Downtown Abbey, Sherlock, Hercule Poirot, Broadchurch…), St Katharine Docks, Notting Hill, la langue de Shakespeare, et j’en passe…

C’est une ville dans laquelle je pourrais habiter.
Je m’y sens chez moi.

Bref Londres, c’est une grande histoire d’Amour (applicable à tout le Royaume-Uni pour être exacte puisque je connais également l’Ecosse et l’Irlande).
J’aime y retourner, et pas que pour le Tea Time !

Un tout petit échantillon photographique.
J’y suis allée plusieurs fois, mais je n’ai pas retrouvé tous les clichés (notamment argentiques).

Hôtels que je peux recommander :
– proche d’Hyde Park : le Mandarin Oriental Londres.
– proche de la Tate : Grange St Paul’s Hotel.