« Zao Wou-Ki, l’espace est silence » (MAM, Paris)

De Zao Wou-Ki je ne connaissais pas grand chose avant qu’une amie écrivain m’en parle et m’incite à aller admirer l’exposition au MAM de Paris.

Elle a bien fait : ce fût une véritable révélation ! 

J’ai aimé les traits qui m’ont parfois fait penser à de la calligraphie, parfois à de la musique, parfois à des silences éloquents et parfois à rien (ce qui est déjà beaucoup quand on y réfléchit comme il se doit)…

L’art abstrait n’est pas évident à décrypter, à apprivoiser, mais certains Artistes ont le don de vous sortir de votre zone de confort et d’éveiller en vous des émotions qui transcendent leurs oeuvres. 

Merci Zao.
Je ne suis pas prête de vous oublier.

« Espèces en voie d’illumination » (Jardin des Plantes, Paris)

« 1ER FESTIVAL DES LUMIÈRES
AU JARDIN DES PLANTES DE PARIS

UNE BALADE NOCTURNE QUI ÉCLAIRE LES CONSCIENCES
ET LES VISAGES DES PETITS COMME DES GRANDS. »

(Museum National d’Histoire Naturelle)

Parfois il est inutile d’en écrire des tartines.

C’était vendredi soir avec mon amie Karine, et c’était tout simplement MAGIQUE !!

Vous avez jusqu’au 15 janvier 2019 pour éblouir vos yeux…

« Picasso, bleu et rose » (Musée d’Orsay, Paris)

Une énième exposition Picasso ?
Eh bien NON.

Celle-ci est une réussite totale : de nombreux tableaux de collections particulières jamais vus, une disposition des oeuvres qui offre une superbe évolution du travail de l’Artiste entre 1900 et 1906 (il n’était âgé que d’une vingtaine d’années) et qui met en lumière un lien entre les deux périodes souvent dissociées…

C’est magistral !

Vous avez jusqu’au 6 janvier 2019  pour aller l’admirer comme il se doit !

« L’espace d’une année, Picasso vécue cette peinture mouillée,
bleue comme le fond humide de l’abîme et pitoyable »
(Guillaume Apollinaire, La Plume, 15 mai 1905)

« A considérer cette manière, ce style preste et un peu hâtif, on se rend vite compte que M.P.R. Picasso veut tout voir, veut tout exprimer.
Certes, on imagine aisément que la journée n’est pas assez durable pour ce frénétique amant de la vie moderne »
(Gustave Coquiot, 1901)

Un GRAND MERCI à ma tante Claire et à Donatien Grau.

« Djenkafo » (Espace Beaurepaire, Paris)

Djenkafo, ou « ce que l’on dit à 2 » …
Voici ce que le mot signifie en Dioula, langue d’Afrique de l’Ouest.

Ce n’est donc pas surprenant si deux ans après leur première collaboration à la Galerie 38 à Paris (« Vernissage exposition…« ), Stéphanie Ledoux et Maud Villaret remettent ça à l’Espace Beaurepaire dans le Xe arrondissement de la Capitale !

Elles se complètent encore à la perfection et nous proposent de nouvelles et sublimes créations à quatre mains à côté de leur propre travail individuel.

C’est coloré. C’est multi-supports, multi-matières. On voyage. C’est beau !

Les deux femmes sont assurément non seulement auréolées de leur génie artistique respectif mais aussi animées d’un partage métissé au bout de leurs crayons, pinceaux et aiguilles.

J’étais au vernissage le 29 novembre dernier.
Vous avez jusqu’à dimanche pour aller les admirer !

Espace Beaurepaire
28 rue Beaurepaire
75010 Paris

Le Moustache Café (Paris)

Ma visite date de juillet dernier.
Hum hum…
Mieux vaut tard que jamais pour vous en parler non ?

Donc, si vous êtes comme moi,  un(e) ailurophile convaincu(e), ce café est pour vous !

Quelques félins sont chez eux à demeure, mais la majorité sont à adopter via diverses associations.
C’est LA BELLE CAUSE au-delà du concept désormais bien connu en France des « bars à chats ».

Les deux jeunes femmes aux commandes (des soeurs) vous accueillent sympathiquement et vous proposent une carte gourmande (petite restauration).

On s’y sent vraiment bien.

C’est un endroit lumineux, chatleureux comme je les aime et terriblement bien pensé pour le bien-être des matous  (ils ont une mezzanine dédiée où eux seuls peuvent aller : espace repos, litières…) et des humains.

Chatpprouvé donc, et chatpeau bas Mesdames !

J’y retournerai avec beaucoup de plaisir même si j’ai deux poilus exceptionnels à la maison.

Le Moustache Café
10 Rue Raymond Aron
75013 Paris

06 70 57 85 91