Fin de relation kubienne (déjà !)…

J’ai été testeuse de la Kube cet Eté.
J’étais plutôt convaincue.
Mais…

Depuis, le marketing sur les réseaux sociaux est passé par là.
Avant le lancement officiel, ce dernier m’a littéralement écoeurée et laissée très perplexe.
Parce qu’à vouloir trop en faire, on tue l’envie.

Je ne vois pas le côté humain (même si l’équipe a répondu à mes interrogations) mais plus une machine de guerre qui tente de se trouver une place par n’importe quel moyen.
Et ce n’est pas du tout ce que je recherchais à l’origine.

Alors oui, l’aventure se fera finalement sans moi !

Le Pré Catelan : le soir où Anton m’a déçue… (Paris)

C’était il y a plus d’un an maintenant (samedi 1er février 2014 au soir).
J’ai attendu, pour laisser retomber un peu ma déception.
Mais force est malheureusement de constater qu’elle est toujours bien présente .

Je m’en faisais une joie. Nous nous en faisions une joie.
C’est un Chef *** (et un MOF qui plus est) que j’aimais, que nous aimions suivre sur le petit écran et à travers ses livres de cuisine.

J’avais demandé une table bien placée au moment de la réservation : nous nous sommes retrouvés dans la petite salle où l’on avait l’impression de manger sur les genoux de toutes les autres personnes présentes. Le changement a été demandé et il s’est effectué dans la jolie pièce principale.

Le Pré Catelan Frédéric Anton Paris

A ce moment là, j’y croyais encore et je me suis dit : « ok, la soirée peut commencer… »

(…)

Odeurs de brûlé sortant de la cuisine (ressenties au moins deux fois), personnel qui se mettait dans un coin et qui discutait (constaté à plusieurs reprises), porte principale qui a claqué au moins dix fois (nous avons fini par compter, pour dire…), portions énormes qui nous a contraints à annuler deux plats, du gras en quantité astronomique, des serveurs qui finissaient les verres non terminés des clients (vu au moins deux fois), une hôtesse qui ne daignait pas nous dire « au revoir » à notre départ, un voiturier qui n’était pas capable de nous reconnaître à chaque pose cigarette, une digestion qui a duré plus de dix heures…

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L’addition finale a été des plus salées (même si deux plats nous ont été offerts étant donné nos remarques : une habitude de la maison pour éviter les futures critiques ?)

Bref, ce fût un dîner TF1 « Video gag », bien loin de « Master Chef » !

Depuis, Frédéric Anton a arrêté l’émission qui l’a fait connaître au Grand Public pour (soit disant) se recentrer sur sa cuisine.
C’était plus que nécessaire.

Je n’y suis, nous n’y sommes pas retournés depuis.
Et je n’en ai pas du tout envie !

Je ne sais pas si cela a changé, mais suite à notre bien triste expérience je ne recommande pas… du tout.

Box « A bicyclette » d’Envouthé…

COUP DE GUEULE

L’idée était pourtant géniale : une box revêtant le maillot à pois, le Tour de France des thés…
Sauf que tout est déjà plié parce que les vainqueurs sont déjà connus et que les expéditions n’étaient pas toutes dopées à la même substance !

Il faudrait nous expliquer un jour pourquoi certains reçoivent les box très tôt et d’autres très tard. Ne sont-elles pas censées partir à la même date ? Parce que si tel n’est pas le cas, cela crée forcément de tels problèmes…

Mes théières et tasses resteront donc muettes quant aux dégustations.
Parce que ce mois-ci, je n’éprouve aucune envie d’en parler !

Pourquoi ?
L’émotion de l’excitation enfantine n’a malheureusement pas eu lieu.
Parce qu’à force d’interviews de certaines personnes postées, de déballages complets bien trop tôt et n’ayant reçu la box qu’aujourd’hui, et bien il n’y a eu aucune surprise !
J’irais même jusqu’à dire que lorsqu’elle est arrivée (enfin) ce matin, je m’en fichait déjà royalement étant donné ma déception de déjà tout connaître.

L’intérêt d’une box de ce type, au-delà de la qualité des sélections se trouve également et surtout dans l’effet surprise !
Comme ce n’est pas du sur-mesure, le contenu est le même pour tous les clients.
L’égoïsme de beaucoup en matière de communication et les relais sur les réseaux sociaux n’arrangent rien.
Depuis quelques mois déjà, j’essaie de me protéger un maximum des teasings mais cette fois il faut avouer que cela a été du grand n’importe quoi puisque les maisons de thé elles-mêmes présentes dans la p’tite boîte s’y sont mises également.

Merci à toutes les personnes concernées.
Vraiment.

Une cliente qui boude.
Un peu.
Beaucoup.

En attendant je réfléchis à arrêter (ou pas) mon abonnement.
Je l’avais déjà fait en janvier dernier. Je m’étais réabonnée en février. Mais les couacs du transporteur choisi et la sur-communication des déballages m’agacent profondément.
Je me laisse jusqu’à la fin de l’Eté pour prendre ma décision définitive (et irrévocable cette fois…).

Box « A bicyclette » d’Envouthé 
 

NDLR. Le pire c’est que ce coup de gueule m’a fendue le coeur parce que j’adore toute l’équipe Envouthé et que celle-ci le sait étant donné la place qu’elle a pris sur mon blog…

Mes tests Christine Dattner…

Que les fans de la marque ne lisent pas la suite, ils risquent d’être fortement déçus.

Le premier goûté était grâce à A l’unithé : le « Thé vert à la menthe » of course! Je l’avais trouvé plutôt bon.
Au Café Fauve à Paris à l’occasion d’un brunch, j’ai découvert leur « Milky » qui était intéressant.

Je continue de les tester grâce à A l’unithé mais je n’arrive pas à être emballée par cette maison et ce pour plusieurs raisons :
– leurs sachets sont en fibres (comme ceux de Kusmi Tea) : je déteste avoir dans mon mug des bouts qui flottent (cela fait partie des choses qui me gonflent !)
– le détail de ce que l’on boit n’est pas mentionné sur le sachet. Lorsque l’on essaie d’en savoir plus sur leur site, on reste sur notre faim ! Et la transparence, me concernant, c’est primordial dans mes choix.
– leurs thés sont plutôt courts en bouche
– cette marque est très loin de ses clients : ils sont peu actifs sur les réseaux sociaux et promettent des choses qui n’arrivent pas (ils m’ont contactée via mon blog pour un envoi commercial mais j’attends toujours de recevoir ledit colis…)
– leur site est une catastrophe informatique et visuelle (cela ne fait pas envie du tout !)

Il y a quelques jours, j’avais dans ma tasse « Un été à Capri » (« thé vert Sencha de Chine aromatisé à la fraise et au pamplemousse »). Pas convaincue.
Avant hier, « Un thé aux Maldives » (« thé aux parfums sensuels et exotiques parsemés de fleurs et fruits paradisiaques » je cite) m’a laissée perplexe.
Hier, « Les rives du Saint Laurent » (« ce magnifique thé Blanc aux grenades et airelles charmera vos papilles par ces subtiles équilibres de saveurs » je cite toujours). A froid, je l’ai trouvé plutôt bon, ok.

Les appellations alléchantes ne suffisent pas.
Il manque à chaque dégustation ce petit quelque chose qui fait que.
Bref, en écrivant ce billet, je me dis qu’il vaudrait mieux que j’arrête de les goûter après ce dernier test.
Il est inutile de vouloir se convaincre à tout prix. Et chez moi, rien de pire que l’ennui !
Comme pour La Route des Comptoirs, Les Thés de Constance… on ne peut pas apprécier toutes les maisons…

Le soir où j’ai testé un mug cake…

Alors j’ai voulu faire le test.
Juste histoire d’avoir un avis concret sur la question et ne pas juste dire « au beeeeeeuuuuuuurrrrkkkkk » sans avoir goûté.

Voici la recette que j’ai utilisée (vantée un jour par une émission matinale), trouvée sur le blog My Cooking :

« Ingrédients pour un mug :

1 œuf
2 cuillères à soupe de sucre
2 cuillères à soupe de farine
1 pincée de levure chimique
40 grammes de chocolat noir
40 grammes de beurre demi-sel

Préparation :

1 Réservez deux carrés de chocolat et versez le reste en petit morceaux avec le beurre dans un mug et faites fondre le tout pendant 1 minute au micro-ondes à 700 W. Mélangez l’ensemble avec une fourchette.

2 Ajoutez la farine, la levure et le sucre, mélangez entre chaque ajout.

3 Cassez l’œuf dans le mug et mélangez énergiquement l’ensemble de façon à obtenir une pate bien lisse.

4 Déposez les deux carrés de chocolat au centre de la pâte et faites cuire une minute au micro-ondes à 700 W, si vous n’obtenez pas la cuisson désiré poursuivez à nouveau la cuisson encore 30 secondes. Servez sans attendre ! »

Cela ne fût vraiment pas glorieux, voire même (pardon) tout simplement dégueu ! (tout du moins pour la cuisinière amoureuse des bons produits que je suis)

Me revient alors une citation en mémoire : « Il y a pire que le mauvais goût; c’est l’absence de goût»…