Ne pas vouloir céder à l’appel de certaines sirènes…

Je sais que toute vérité n’est pas bonne à dire.
Je perdrai peut-être des connaissances que j’apprécie au demeurant suite à ce billet mais là, cela me démangeait trop…

Mardi a eu lieu une Masterclass culino-théinée à laquelle j’ai refusé de me rendre, par conviction.
Thé en question : TO by Lipton.
Je ne me suis pas mise à apprécier les maisons de qualité pour faire un retour en arrière !
Et puis le thé en capsules franchement, cela ne me fait pas rêver. Tout simplement.
Pâtisserie en question : macarons de Pierre Hermé.
J’ose avouer qu’ils ne m’ont jamais retournés ! Ni rien d’autre de ce que réalise ce Chef d’ailleurs.
Il y a comme un paradoxe en plus lorsque l’on conjugue les deux : le pâtissier vend son propre thé en boutique ! Je ne comprends pas (ou sinon trop bien ce que cela sous-entend). Bref.
Certains diront : elle a fait sa bégueule, elle n’est pas ouverte d’esprit.
A ces personnes là je réponds : il est hors de question que je rentre dans ce jeu du « tout et n’importe quoi » du monde des blogueurs. Je m’y refuse.
Non mais franchement, peut-on rester crédible en se gargarisant de cette journée lorsqu’en parallèle on critique à tout vent Kusmi Tea et profiter d’une marque pour en fait rencontrer quelqu’un d’autre en particulier ?!
« Vendre son âme au diable » n’est décidément pas un cru qui me fascine.
Des couillus l’ont reconnu, en tout cas ils ne l’ont pas nié : vous êtes sauvés !
Lorsque j’ai reçu l’invitation, j’ai expliqué aux expéditeurs la raison de mon refus. Visiblement mon honnêteté a plu. En tout cas ils me l’ont exprimé.
Ne pas se rendre à un évènement n’est pas la fin du monde. Le risque est (seulement) de ne pas être invité de nouveau. Et alors ?! N’y-a-t-il pas des choses plus graves dans la vie ???
Tout ceci me laisse très perplexe.
D’autres apprécieront…

Cette même semaine j’ai claqué la porte (une nouvelle fois) d’une association (littéraire. Je vais être gentille et ne pas la mentionner) dans laquelle je souhaitais pourtant m’investir.
Les coulisses ne sont (hélas) décidément pas belles, et ce trop souvent. Ou je suis très mal tombée à chaque fois (dans ce cas, vraiment pas d’chance).
Je me fais effectivement une haute idée de ce qu’il y a derrière ce joli terme : une vraie collaboration,  un partage d’idées, des décisions prisent ensemble (véritablement), etc, etc… Un peu comme une démocratie quoi. Sinon cela vire à la dictature.
En trois expériences, je constate toujours les mêmes dérives : une perfection dans la non-communication (propos fuyants, suspicieux, complètement fermés, parfois même déplacés), des egos démesurés mais surtout un jeu de « pouvoir » très malsain où chacun cherche à préserver à tout (et n’importe quel) prix son pré carré.
Comme j’ai passé l’âge des gamineries de cours de récré et que tout cela est censé être du plaisir, j’ai mis les bouts.
Depuis, je me sens libérée. J’ai donc fait le bon choix. Assurément.

On me qualifie souvent de « résistante », de « rebelle ».
Dans un monde aseptisé par la bêtise humaine, j’assume et j’en suis même très fière !

Voilà. C’est dit.
Je peux (enfin) passer à autre chose…

La fuite avant la déception (de trop)…

J’ai reçu hier My little box du mois de juin.

Dehors, il fait un temps tout pourri.
J’espérais donc m’ensoleiller avec son contenu.

« Calvi on the rocks » son appellation.
La promesse de la Corse donc.

Je l’ai ouverte avec un certain empressement et j’ai eu la même impression finale que celle du mois dernier qui voulait nous vendre l’Italie (et dont je cherche encore la cohérence).

Comme dirait Hercule Poirot dans « Mort sur le Nil » (aucun rapport mais moi je le précise) : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ».

Au programme :

  • Une boîte au design affreux (il est où le rêve en mode artistique ??!!!)
  • Le magazine My little (bon, même pour les toilettes, il faut avouer qu’il ne casse toujours pas trois pattes à un canard hein ! Etre girly ne veut pas dire bête. A bons entendeurs…)
  • Un t-shirt taille unique (alors là, ça c’est grandiose ! Et cela entraîne un déchaînement sur les réseaux sociaux : il y en a pour qui cela fait à peine un soutif et d’autres se noient dedans. @My little : ce type de produit c’est le suicide fashion assuré. Doit-on vous rappeler que tout le monde n’est pas fait pareil ?! Perso je dormirai avec…)
  • Un sachet de thé (glacé) Kusmi (étant donné le froid dehors, on va attendre un peu…)
  • Une pochette plastique pour bikini (c’est vrai que tout le monde en porte bien sûr. Pas certaine que mon maillot rentre dedans…)
  • Un lait pour le corps (encore ? Oui… Je ne sais plus quoi en faire. Je vais peut-être ouvrir une boutique…) Dr. Hauschka avec un échantillon de crème de jour à la mélisse (idem : je n’ai pas encore terminé toutes les autres reçues…)
  • Un masque pour les cheveux Aussie (tiens, je l’ai déjà reçu celui-là. En mars dernier pour être tout à fait exact…)
  • Une huile pour les cheveux My little beauty (à l’odeur indéfinissable…)

D’autant plus bête tout ça que je suis partie 3 semaines en vacances au soleil en avril.
Eh oui, on ne prend pas tous nos congés en juillet et/ou août…

Très ennuyée, je suis face à un dilemne parce que si je me suis abonnée en octobre dernier, c’était pour que je ressente à chaque ouverture des p’tits bonheurs en barre.

Alors quand je lis les commentaires (« j’attends ma box depuis trois mois », « je n’ai toujours pas reçu ma box », « cette box est décevante, comme toutes depuis un moment maintenant », « vous ne prenez plus en considération les clientes au bout de 6 mois », etc, etc…), je me dis « Céline, prends immédiatement la poudre d’escampette » avant de vivre (subir) tout cela.

Parce que visiblement la perplexité commence avec des doublons et l’écoeurement devient la conséquence de déceptions en tout genre cumulées.

Je n’ai pas signé pour ça.

Adieu My little box.

Céline (abonnée pleine d’espoirs en octobre 2015 – désabonnée perplexe en juin 2016)

image

Le Bar à thé Betjeman & Barton (Paris)

Samedi après-midi j’ai voulu tester le Bar à thé (plus chic que Salon ?! Je m’interroge…) Betjeman & Barton situé 24 boulevard des filles du Calvaire dans le XIe arrondissement à Paris.

Eh bien grand mal m’en a pris !

La personne qui était là ne m’a ni saluée, ni répondue à mon « Bonjour » (ok elle était en train de servir des clients mais l’usage veut que l’on fasse a minima un signe de tête aux nouveaux côté « prise en charge commerciale »).

Bien refroidie, j’ai tout de même fait le tour du lieu en passant devant le comptoir et comme je n’avais toujours pas la chance de recevoir le moindre signe de considération, je suis sortie (en disant un « au revoir » resté également sans réponse parce que personnellement, je suis polie).

Moi qui m’en faisais une joie, mon excitation est vite retombée.
Et comme l’accueil dans ce genre d’endroit est primordial selon moi (comme partout au demeurant), je n’y retournerai pas !

betjmanbarton_devanture_ma

(C) internet

21 cm (de rien du tout !)

Une émission littéraire qui s’annonçait différente.

Ok.
Je lui reconnais au moins ça mais au final, beaucoup de bruit pour rien !

Seule Patti Smith aura sauvé ces 40 mn d’un Canal+ qui, à force de se regarder le nombril (lancement avec Frédéric Beigbeder, appel à de Caunes pour la battle et à des people vantant des livres dont on ne retient absolument rien), en perd toute sa qualité et donc sa crédibilité.

Next!

imageNDLR : Augustin (Trapenard) , rassurez-vous : je continue à  écouter Boomerang sur France Inter !

Moleskine webstore et Colis Privé

Voilà, je n’y croyais plus…
Je les ai ENFIN !

IMG_0455 Mais à quel prix…

Il y a plusieurs jours de cela, je passais une commande sur le webstore de Moleskine.
Ce fût laborieux et dans la recherche des produits et pour le paiement.
J’ai failli abandonner, mais ils ont eu de la chance : j’étais pressée et je n’avais pas le temps de traverser Paris pour aller physiquement en boutique.

Cela aurait dû déjà me mettre la puce à l’oreille…

J’ai reçu le lendemain un email de confirmation désastreux, autant sur la forme que sur le fond, qui ne précisait aucun délai de livraison…

Super… 

Puis ce week-end, un email de Colis Privé (je ne savais pas que c’était eux les transporteurs) m’est parvenu comme un cheveu sur la soupe me précisant que mon colis avait été livré samedi et me proposant de répondre à un questionnaire de satisfaction.
Etonnée, je me suis empressée d’aller voir le suivi sur internet qui me confirmait que le colis avait bel et bien été livré.

Bizarre…
J’avais demandé une expédition à mon bureau : la société n’est pas ouverte le samedi et aucun livreur ni facteur ne vient dans la zone d’activité dans laquelle elle se trouve ce jour-là (d’autant plus le week-end de Pâques !).

Hier matin évidemment, à mon arrivée, aucune trace dudit paquet (et aucun avis du soit disant passage).

Et là les ennuis commencent : appels et emails multiples (DHL, Colis Privé, Moleskine).
Personne n’est fichu de me dire où est ma commande (volée ? perdue ?).

Je suis allée voir les commentaires sur Colis Privé sur plusieurs supports.
Ca faisait peur… 

Je commence donc à m’échauffer sur Twitter, de manière beaucoup plus vive ce matin.

Et ô miracle : comme par magie, un Monsieur vient me livrer à 15h10 mon paquet !

Effet réseaux sociaux ???

Aucun mail ni appel bien sûr des principaux intéressés (Moleskine et Colis Privé) qui devaient, je cite, me tenir informée.

Conclusion : EN CAS DE PROBLEME, ROUSPETEZ SUR LES RESEAUX SOCIAUX POUR OBTENIR GAIN DE CAUSE !

Je ne recommande pas du tout un achat sur le webstore de Moleskine pour les raisons indiquées plus haut, et je vous déconseille vivement le transporteur Colis Privé (je suis d’ailleurs très surprise qu’une marque soit disant haut de gamme fasse appel à eux).

Seul point positif dans cette histoire assez désolante : American Express me remboursait la totalité de la commande sur simple appel.
Côté service clients, beaucoup devraient prendre exemple sur eux…

NDLR. Sinon pour une boutique en ligne REUSSIE (en front comme en back), je recommande les yeux fermés wee-commerce ! A bons entendeurs…