L’Atelier Porcelaine s’engage…

« Le mot ATELIER m’a toujours fait rêver il est source d’inspiration et de créativité .
Petite fille j’allais peindre sur porcelaine dans l’atelier avec ma grand-mère, je rejoignais mon grand-père dans le sien pour bricoler des objets de toutes sortes … »

Voici les premiers mots que j’ai lu d’elle sur son site internet.
Comme un écho…

J’ai découvert Fany, créatrice de son Etat, dans le cadre d’une opération en faveur de Toutes à l’Ecole : elle a créé deux mugs destinés à la vente et tous les bénéfices engendrés ont été reversés à l’Association. C’était en 2013. Elle renouvèle cette belle action des plus généreuses en 2014.
Chapeau !

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Au-delà de cela, nos échanges par mail lors de ma commande se sont tellement bien passés que j’ai eu envie de creuser…

Son coup de pinceau : la peinture sur porcelaine, « à l’ancienne » et donc dans les règles de l’Art.
Une Artiste donc, une vraie ! Qui allie techniques du passé et modernité !
Je ne pouvais qu’aimer…

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

Plusieurs créations très différentes (et donc pour tous les goûts) sont proposées, mais aussi du  » Sur Mesure  » (pour lequel je vais finir par craquer…)

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

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© Photo : site internet L’Atelier Porcelaine

Elle s’est également associée à une amie d’enfance pour créer « Chiffons & Porcelaine » : des coffrets naissance, des ensembles Arts du Bain et Arts de la Table

Bref, une créatrice inspirée, dotée d’une belle philosophie de vie, que je prends plaisir à suivre, avec qui j’aime échanger et que je souhaite soutenir ici…

A découvrir, à encourager, à (s’)offrir, à partager !

Tuol Sleng Genocide Museum (Phnom Penh)

Avec le soleil et les frangipaniers en fleurs, l’endroit pourrait être considéré comme très joli.
Ne vous y fiez pas.
Cette école, qui devait être charmante avant les évènements (Le « kampuchéa démocratique »), a été le lieu où près d’1/3 de la population cambodgienne est morte.
Oui, ces quatre bâtiments ont tout d’abord été un lieu d’éducation, puis quatre blocs d’extermination, avant de devenir de fait le musée du génocide khmer.

Le plus dur pendant la visite est de s’imaginer les rires des enfants dans les cris de douleurs des victimes torturées…

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Pour ceux qui veulent aller plus loin si cela n’est pas déjà fait, je recommande le livre (« L’élimination« ) et les documentaires (« S21« , « Duch » et « L’image manquante« ) de Rithy Panh.