« Sagan et fils » de Denis Westhoff…

Denis Westhoff nous livre SA vérité sur cette mère dont tout le monde
parlait mais que personne ne connaissait comme lui.

Je n’ai, hélas, rien appris de nouveau sur la légende du « charmant
petit  monstre », mis à part le fait que mère et fils étaient plus proches
qu’on ne pouvait le penser.

Pour les amoureux de Sagan (que je suis), offrez-vous le quoi qu’il en soit, ne serait que pour contribuer au remboursement de la dette fiscale…

Belle lecture à tous !

Sagan et fils Denis Westoff

Editions Stock

En direct de CDG…

L’attente dans les aéroports, une chose somme toute assez commune et simple, mais que j’apprécie particulièrement…

Un aéroport, c’est une ville qui vit à 100 à l’heure et d’où l’on retrouve toutes les émotions en condensé… Un voyage à lui tout seul !

En vrac à vue d’oeil ce matin : des «j’te quitte mais j’reviens» (ou pas), des «au revoir» heureux, en larmes, soulagés, inconséquents, (…) des retrouvailles gaies, pesantes, hypocrites, orgueilleuses, (…) Des personnes qui courent, des enfants qui jouent, des p’tits oiseaux qui souhaitent retrouver leur liberté perdue au hasard d’un sas ouvert, des talons (non recommandé lorsque vous partez : nous sommes obligées de les enlever, des fois que les talons soient des suspects number one all over the world !), des baskets, des valises, des sacs, des ordinateurs, des ipad (très mauvaise la connexion !), des gilets jaune, orange, des équipages grande classe (mais je n’en ai jamais rêvé, même petite : le fantasme de l’uniforme peut être partout; il suffit juste d’avoir l’imagination qui va avec !), la PAF (Police aux Frontières, je suppose), l’attente à l’embarquement, la surexcitation du départ, l’attente, la peur de l’avion (cela ne m’a jamais empêché de voyager, depuis un voyage raté à cause de cela en Australie), «On time», «Delated», «Expected on» (one day…), des petites mains qui s’affairent et qui nettoient toutes les cochonneries laissées par les voyageurs (français en premier, bravo !), des râleurs, des grèves (ou pas : aujourd’hui, c’est tout bon !), des destinations improbables qui vont font réviser votre géographie fort lointaine tout à coup, des contrôles de sécurité de plus en plus poussés (nous finirons tous à poils !), des toilettes toujours propres (l’aviez-vous remarqué ?), peu de sourires dans le personnel (je suis à Roissy CDG, CQFD ! «Aéroports de Paris, Life Style» ?! On en est loin…), des boutiques (pourtant cela fait longtemps que cela ne vaut plus la peine d’attendre de partir pour…, la crise nous offrant des promotions permanentes ces derniers temps), des chassés-croisés («moi je suis bronzé(e), pas toi !», «pas encore c…… !»), des personnes fatiguées, des mines réjouisses aux accents de regrets éternels, des gens très pressés, tellement pressés de partir qu’ils préfèrent attendre debout pour être les premiers dans les avions (concours de testostérone en live !), la joie d’être attendue à l’arrivée, …

NDLR : Liste non exhaustive, que vous pouvez continuer et que je prendrai plaisir à lire.

11h59 : «Boarding»
J’ai mon gri-gri ???
(vérification pour la énième fois)
Ok c’est bon…
(merci mon brun <3)

Paris CDG, 12 mai 2012, terminé d’écrire à 12h (ou le hasard pour la forme !)
Direction l’Ile de Beauté (Ajaccio), afin de vérifier si ce que l’on dit est vrai…

Voyage