Louboutin…

Arrivés à 18h45 à la maison mère.
Fermeture de la boutique à 19h.
Pas de file dehors cette fois; un peu de monde à l’intérieur.

En cinq minutes, le choix est effectué !
J’ai même perdu du temps parce que la personne qui s’est occupée de moi m’a fait croire l’espace d’un instant qu’elle n’avait plus ma pointure. Regard noir… Ouf ! Elles me vont comme un gant. Regard approbateur de mon brun. Emballées !

« Wallis » me dit-on : me vient instantanément en tête Wallis Simpson, pour qui Edouard VIII a abdiqué. Une des plus belles histoires d’amour du XXe siècle. All is perfect !

Seul hic : être encaissé par une personne en jean.
Lorsque vous vous rendez dans une belle maison, vous imaginez autre chose…

Trois ans d’attente et une fois le rêve réalisé, que reste-t’il à part être déjà à la recherche de LA nouvelle paire ?

Wallis Louboutin

 

Louboutin rue Jean Jacques Rousseau Paris

« L’odeur du figuier » de Simonetta Greggio…

Note de l’éditeur :

Cinq histoires dont le point commun est une odeur de figuier sauvage, une senteur d’été, d’enfance, de nostalgie, un parfum de délicieuse mélancolie, comme une chanson qui ramènerait à une époque oubliée. Et cette odeur, suspendue sur la vie des personnages, est là pour leur rappeler que la joie est admissible et recevable, qu’elle est tout près, qu’il faut la respirer, y croire, la laisser planer et s’en envelopper.

« La plus française des italiennes » est loin de m’avoir convaincu, excepté dans sa maîtrise des descriptions…

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Editions Le Livre de Poche